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Maladies de la thyroïde

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Maladies de la thyroïde Empty Maladies de la thyroïde

Message  Admin Dim 5 Oct - 17:45



Maladie de Basedow
Un article de Wikipédia,

La maladie de Basedow ou Graves-Basedow, est une thyroïdite, une maladie auto-immune de la thyroïde provoquant une hyperthyroïdie accompagnée de signes cliniques spécifiques. Il s'agit de sa forme la plus fréquente.

Elle doit son nom à Carl von Basedow.



Épidémiologie

La maladie de Basedow peut toucher tout le monde, mais essentiellement les individus entre 40 et 60 ans. Elle est cinq à dix fois plus fréquentes chez les femmes. Elle est la cause de près des trois-quarts des hyperthyroïdies.

Il existe un facteur génétique comme l'atteste une atteinte concomitante chez de vrais jumeaux ainsi que la présence d'antécédents familiaux.

Le tabac multiplie par dix le risque de sa survenance et augmente les risques de complications[réf. nécessaire].

Physio-pathologie

L'auto-immunité se développe à partir des anticorps anti-récepteurs de la TSH, stimulant anormalement la glande thyroïde qui augmente sa production d'hormones.

Éléments cliniques

Ils comprennent l'association de signes d'hyperthyroïdie et de signes plus spécifiques de la maladie.

Hyperthyroïdie
Icône de détail Article détaillé : hyperthyroïdie.

Elle se caractérise par une asthénie, un amaigrissement contrastant avec un appétit conservé, voire augmenté, hypersudation, des attitudes d'évitement de la chaleur. Il peut exister des troubles psychologiques, une agitation, une nervosité, un tremblement, une soif permanente avec augmentation des mictions (polyurie-polydipsie)

L'examen clinique montre une fréquence cardiaque accélérée (tachycardie), voire un rythme irrégulier.

Signes et symptômes plus spécifiques de la maladie [modifier]

Il existe une augmentation, typiquement homogène de la glande thyroïde qui peut être palpée sous forme de goître. L'auscultation de cette dernière permet de percevoir un souffle, lui donnant l'appellation de « goitre vasculaire » .

Il peut exister typiquement une exophtalmie (aspect d'extusion partielle de l'œil en dehors de l'orbite) bilatérale symétrique et réductible (la pression sur les globes oculaires réduit l'exophtalmie). Elle est accompagnée d'un œdème des paupières.

La palpation de la face antérieure des tibias peut démontrer un oedème (« Myxœdème pré-tibial »).

Diagnostic

Biologie

L'hyperthyroïdie est démontrée biologiquement par un taux de TSH effondré dans le sang avec un taux élevé de triiodothyronine (T3) et de thyroxine (T4). En cas de Basedow, il existe une élévation du taux d'anticorps anti récepteurs à la thyréostimuline et des TSI (Thyroid stimulating immunoglobulins).

Imagerie

La scintigraphie thyroïdienne consiste en la visualisation du captage (fixation) de cet organe d'un composé radio-actif. Elle montre typiquement une thyroïde augmentée de volume et hyperfixante. Elle permet de différentier la maladie de Basedow d'autres causes d'hyperthyroïdie, comme un nodule, dit « toxique », par exemple.

La vascularisation du goître est augmentée et peut être démontrée par un doppler de la thyroïde.

Association à d'autres maladies auto-immunes

* Insuffisance surrénale
* Myasthénie
* thyroïdite d'Hashimoto

Traitement

Les trois options sont la prescription de médicaments Antithyroïdiens de synthèse (carbimazole et propylthiouracyl), l'ablation chirurgicale de la thyroïde et l'emploi d'iode radioactif, détruisant ainsi sélectivement la glande. Ces trois traitements ont une efficacité comparable mais le taux de rechute est plus élevé avec les médicaments (près de 40%) qu'avec les deux autres méthodes. Le choix de l'une ou l'autre des options dépend d'un certain nombre de paramètres, dont font partie les habitudes locales (les États-Unis recourant de manière beaucoup plus fréquente à l'iode radio-actif en première intention que l'Europe).

L'exophtalmie nécessite une prévention des lésions oculaires, secondaire à une couverture insuffisante des paupières avec un risque de lésion de la cornée. Plus rarement, elle doit être traitée pour elle-même.
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Message  Admin Lun 1 Juin - 9:27

Qu'est-ce qu'un nodule thyroïdien ?
Le nodule thyroïdien est en fait une bosse dans la glande thyroïde; il peut s'agir d'une prolifération de cellules ou encore d'une petite poche de liquide (kyste). La plupart du temps il est solitaire mais on peut retrouver plusieurs nodules chez le même patient (goitre multinodulaire). En général il est petit, indolore et est trouvé par hasard par le patient lui-même ou lors de la palpation du cou par son médecin. Il perturbe rarement le fonctionnement de la glande thyroïde et les patients atteints n'ont habituellement pas de symptômes d'hypo- ou d'hyperthyroïdie.

Environ 5 % de la population est porteuse d'un nodule thyroïdien palpable et seulement 4 % de ces nodules sont des cancers de la thyroïde. Les cancers de la thyroïde sont donc assez rares (1 % de tous les cancers au Canada) et le taux de survie des patients qui en sont atteints est de 80 à 90 % dix ans après le diagnostic. Par contre, on sait que les chances de guérison sont meilleures si on les détecte et les traite le plus tôt possible.



Types de nodules thyroïdiens :
Habituellement, on peut classifier les nodules thyroïdiens dans un des groupes suivants :

Kyste liquidien (habituellement bénin);
Tumeur ou adénome bénin (le plus fréquent);
Adénome produisant un excès d'hormones thyroïdiennes (rare);
Cancer malin de la thyroïde (rare).


Comment fait-on la différence
entre les types de nodules ?
Certains éléments peuvent aider le médecin à évaluer le risque qu'un nodule thyroïdien soit cancéreux. En général, les probabilités augmentent dans certaines conditions :

Chez les enfants ou les personnes âgées de plus de 60 ans;
Si le nodule grossit rapidement;
Si le nodule est très ferme;
S 'il y a présence de ganglions dans le cou;
Si on note un changement de la voix (devient plus rauque);
Si le patient a été exposé à des radiations (traitements aux rayons)
dans la région cervicale (thymus, végétations adénoïdes, acné, cou).
Le meilleur moyen de faire la différence entre les types de nodules sans avoir recours à une chirurgie est la biopsie à l'aiguille fine. Le médecin introduit alors une toute petite aiguille dans le nodule afin d'en extraire des cellules qui seront par la suite analysées par un spécialiste de la pathologie. Celui-ci pourra déterminer si le nodule est bénin ou malin.

Dans certains cas, la biopsie n'apporte pas de réponse claire et on doit alors répéter la biopsie ou recommander une chirurgie afin d'avoir un diagnostic certain. La biopsie est aussi effectuée dans les cas de kyste thyroïdien; on peut alors retirer le liquide contenu dans le kyste et ainsi réduire la taille du nodule.


Quels autres tests sont
utilisés pour évaluer les nodules ?
En plus de la biopsie, le médecin fera la plupart du temps une prise de sang (dosage de TSH) pour s'assurer du bon fonctionnement de la glande thyroïde. Une échographie (ultrasons) de la glande peut également être utile : elle permet de distinguer un nodule unique d'un goitre multinodulaire et de confirmer qu'il s'agit d'un nodule solide ou d'un kyste. De plus, l'échographie permettra de bien mesurer les dimensions du nodule pour ensuite faire le suivi du volume du nodule. Dans certains cas, on demandera aussi une scintigraphie de la thyroïde en médecine nucléaire afin de déterminer si le nodule capte l'iode.


En quoi consiste le
traitement des nodules thyroïdiens ?
Le traitement dépend de la nature du nodule.

Dans le cas des nodules bénins, un simple suivi suffit. Il faut alors répéter l'examen clinique périodiquement ainsi que l'échographie afin de détecter une augmentation de volume du nodule. Si celui-ci grossit, on procède habituellement à l'excision chirurgicale. Certains médecins traitent aussi ce type de nodules à l'aide d'hormones thyroïdiennes mais il n'est pas prouvé que ceci affecte leur évolution. Dans les cas où un inconfort important est causé par le nodule, on peut recommander une opération même dans les cas de nodules bénins.

Lorsqu'on suspecte un cancer de la thyroïde à la biopsie ou qu'un diagnostic clair ne peut être posé, on procède alors à une chirurgie. Un cancer de la thyroïde est retrouvé chez 20 % de ces patients. Dans les cas de cancer, il est recommandé d'enlever complètement la glande thyroïde et le plus souvent de donner un traitement à l'iode radioactif. Une thérapie de remplacement à base de levo-thyroxine (hormone thyroïdienne) est par la suite instituée.
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Message  Admin Lun 1 Juin - 9:29

Qu'est-ce que le gras dans le sang ?
Il y a plusieurs graisses qui circulent normalement dans le sang sous forme de particules appelées lipides. On distingue deux types de lipides : le cholestérol et les triglycérides. Pour que ces graisses se mêlent bien au sang, elles sont enrobées de protéines. L'ensemble graisse-protéine ainsi formé se nomme lipoprotéine qui se promène partout dans la circulation sanguine. Dépendamment de la sorte de protéine enrobant les graisses, la lipoprotéine peut être bonne ou mauvaise pour la santé. Par exemple, la particule HDL est une bonne lipoprotéine, car elle enlève le cholestérol de la paroi des artères. La particule LDL, elle, est mauvaise, car elle dépose le cholestérol dans la paroi des artères. Dans le langage courant, on dit donc que le HDL est le bon cholestérol et que le LDL est le mauvais cholestérol. Enfin, un taux élevé de lipides dans le sang s'appelle hyperlipidémie.

Est-il dangereux d'avoir un taux élevé de gras dans le sang ?
Plus le taux de LDL est élevé et plus celui de HDL est bas dans le sang, plus le risque de bloquer une artère augmente. Les artères qui sont la cible de choix de l'hyperlipidémie sont les artères coronariennes qui irriguent le coeur. Le bloquage d'une artère coronarienne cause une crise cardiaque ou un infarctus et parfois le décès. On peut diminuer le risque de développer une maladie coronarienne en normalisant les taux de HDL et de LDL.

Comment mesure-t-on le gras dans le sang ?
Toute personne chez qui on veut connaître le taux de gras dans son sang doit d'abord avoir une prise de sang ordinaire après avoir jeûné pendant 14 heures. L'échantillon de sang est alors envoyé dans un laboratoire pour mesurer les taux de cholestérol total dans le sang, de triglycérides, de HDL et de LDL. On peut de plus avoir un aperçu du risque de maladie cardiaque en calculant le rapport cholestérol total/HDL. Par exemple, un taux de cholestérol total de 6 millimoles/Litre et un taux de HDL de 1 millimole/Litre donne un risque cardiovasculaire de 6 (6/1), la normale étant en bas de 4,44.

Pourquoi le taux de gras s'élève-t-il dans le sang ?
Tout le monde a du cholestérol et des triglycérides qui circulent dans le sang. On en a besoin pour différentes fonctions du corps humain. Il ne faut pas toutefois que le taux de ces lipides dépasse une certaine valeur, au-dessus de laquelle le risque de développer une maladie coronarienne augmente. L'élévation du taux de lipides est la plupart du temps reliée à une maladie héréditaire. Dans ces maladies, les graisses du sang sont mal recyclées et s'accumulent. Dans un moins grand nombre de cas, les taux de lipides peuvent s'élever dans le sang secondairement à une autre maladie du métabolisme, tels le diabète ou l'hypothyroïdie, à une maladie rénale ou à la prise de certains médicaments. Une alimentation grasse contribue très peu à l'augmentation des taux de lipides dans le sang des personnes qui ne sont pas prédisposées génétiquement ou qui n'ont pas de maladie favorisant ce phénomène.

Y a-t-il autre chose que le taux de gras élevé dans le sang qui augmente le risque de maladie coronarienne?
L'hyperlipidémie est un facteur de risque pour développer une maladie coronarienne. Il y a d'autres facteurs de risque pour les maladies cardiovasculaires : le tabagisme, le diabète, la haute pression artérielle, un épaississement de la paroi du ventricule gauche du coeur, être un homme âgé de plus de 45 ans ou une femme âgée de plus de 55 ans, et avoir déjà une maladie coronarienne. Plus le nombre de ces facteurs de risque est élevé chez un individu, plus son risque cardiaque augmente. Ainsi, deux personnes avec les mêmes taux de lipides sanguins pourraient avoir un risque coronarien différent si elles n'ont pas le même nombre de facteurs de risque cardiovasculaire.

Que doit-on faire pour abaisser son taux de gras dans le sang ?
Après avoir éliminé ou contrôlé toute maladie ou situation causant une augmentation des taux de lipides dans le sang, le traitement des hyperlipidémies comportent trois volets :

Une diète appropriée enseignée par un(e) diététiste qualifié(e)

La pratique régulière d'exercice physique selon les capacités de chacun

La prise d'une médication qui abaisse les taux de lipides sanguins à la discrétion du médecin traitant


La médication est souvent utilisée, car il arrive fréquemment que la diète et l'exercice seuls ne suffisent pas à atteindre les objectifs visés.
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Message  Admin Lun 1 Juin - 9:29

Qu'est-ce que l'hypothyroïdie ?
La glande thyroïde est une petite glande en forme de papillon, située à la partie antérieure du cou, devant les premiers anneaux de la trachée. Elle est composée de deux lobes (les ailes du papillon) réunis par un isthme. Elle produit des hormones thyroïdiennes qui contiennent de l'iode en grande quantité. Ces hormones, la thyroxine (T 4) et la triiodothyronine (T 3), sont essentielles à la vie et exercent de nombreux effets sur le métabolisme, la croissance et le développement. De façon plus spécifique, elles régularisent la digestion, la fréquence cardiaque, la température corporelle, le système nerveux, le système de reproduction et le poids. L'hypothyroïdie survient lorsque la glande thyroïde ne réussit pas à produire suffisamment d'hormones pour satisfaire les besoins de l'organisme. C'est une maladie que l'on retrouve souvent chez plusieurs membres d'une même famille et qui affecte plus fréquemment les femmes.

Quels sont les signes et symptômes de l'hypothyroïdie ?
Les principaux signes et symptômes de l'insuffisance de sécrétion des hormones thyroïdiennes sont les suivants :
fatigue, lassitude, épuisement
sécheresse de la peau
frilosité
constipation
douleurs musculaires
lenteur intellectuelle
fragilité des ongles
perte de cheveux
voix basse et rauque
gain pondéral
dépression
troubles menstruels
infertilité
goitre (augmentation de volume de la glande thyroïde)
Lorsque l'hypothyroïdie n'est pas traitée, elle peut également entraîner une élévation du cholestérol.

Il est important de signaler que plusieurs autres maladies peuvent provoquer l'un ou l'autre de ces symptômes.

Quelles sont les causes de l'hypothyroïdie ?
Les causes les plus fréquentes de l'hypothyroïdie sont les suivantes :

Thyroïdite d'Hashimoto, qui est secondaire à une accumulation de lymphocytes et d'anticorps au niveau de la glande thyroïde, provoquant une inflammation et une destruction des cellules thyroïdiennes.
Traitement à l'iode radioactif administré pour contrôler une autre affection de la glande thyroïde où elle produit alors trop d'hormones (hyperthyroïdie).
Chirurgies requises pour certaines maladies de la glande thyroïde (nodule, cancer, etc.).
Problème de la glande hypophyse, cette glande étant responsable d'envoyer un message, appelée la TSH, pour le fonctionnement adéquat de la thyroïde.
Qui sont les personnes à risque
d'hypothyroïdie ?
Certaines personnes sont plus à risque que d'autres de développer une hypothyroïdie :

les personnes ayant des antécédents familiaux de maladie thyroïdienne
les personnes présentant d'autres maladies immunitaires comme le diabète insulinodépendant
les femmes ayant accouché récemment
les femmes de plus de 40 ans
les hommes de plus de 65 ans
les personnes prenant certains médicaments comme le lithium, l'amiodarone
Comment fait-on le diagnostic ?
Étant donné la diversité de ses symptômes, l'hypothyroïdie peut parfois être difficile à diagnostiquer, être confondue à d'autres problèmes de santé ou être attribuée au stress et à la fatigue de la vie quotidienne. Cependant, aujourd'hui, avec les dosages plus sensibles et plus précis des hormones, le diagnostic est souvent établi de façon plus précoce par une prise de sang mesurant la TSH (l'hormone de la glande hypophyse qui fait travailler la thyroïde).

En quoi consiste le traitement ?
Lorsque le diagnostic d'hypothyroïdie a été posé, le traitement est facile et efficace. Il consiste en une préparation synthétique de thyroxine (Syntroid, Eltroxin) de diverses concentrations, permettant d'ajuster la posologie selon les besoins de chaque personne. Il est important que la dose du médicament soit bien ajustée afin que l'organisme reçoive autant d'hormones que si la thyroïde fonctionnait normalement. La mesure de la TSH permet à votre médecin de s'assurer que vous recevez le dosage correspondant à vos besoins. Il est rarement nécessaire de mesurer la TSH plus d'une fois par année lorsque la dose établie pour vos besoins a été déterminée.

Lorsque la médication est dosée adéquatement, elle est trés bien tolérée. Les problèmes possibles résultent d'un excés (palpitations, tremblements, sudation excessive, perte de poids, irritabilité) ou d'une carence en hormones thyroïdiennes. Cependant, il faut se rappeler que les symptômes reliés à hypothyroïdie disparaissent graduellement avec le traitement. Chez certains individus présentant une hypothyroïdie sévère, il peut se passer plusieurs semaines avant que le dosage des hormones de remplacement soit stabilisé dans le sang.

Il est conseillé de prendre votre médicament à peu près à la même heure chaque jour afin d'assurer une stabilité au niveau des hormones. Si vous oubliez une dose, vous pouvez la prendre au cours de la même journée ou encore prendre deux comprimés le lendemain. En raison d'interactions médicamenteuses possibles, il est conseillé de ne pas prendre la thyroxine en même temps que certains autres médicaments tels que le fer, le calcium, la cholestyramine, le colestipol et le sulcrate.

La fonction de la glande thyroïde revient rarement à la normale d'elle-même, vous devrez probablement prendre la médication toute votre vie. Les personnes traitées de façon adéquate mènent une vie tout à fait normale.


CETTE SEMAINE : LA SEMAINE DE LA THYROIDE

http://www.linternaute.com/femmes/sante/magazine/dossier/thyroide/
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Message  Admin Ven 19 Nov - 12:36

UN BLOG TRES PRECIEUX : PLUSIEURS RECOMMANDATIONS JAMAIS INDIQUEES
PAR LA PLUPART DES MEDECINS


PROBLEMES DE THYROIDE
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